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Dépôt des propositions 15/09/2025 - 06/03/2026

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Changements sur "Défaillance économique : beaucoup des professionnels sont déçus, voire dégoûtés des décisions publique"

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+{"fr"=>" Les difficulté économiques influence fortement la crise démocratique. "}

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Défaillances économique engendrées par les défaillances démocratique engendrant les difficultés démocratique... cercle vicieux.
1. L’accumulation des richesses et du pouvoir par une minorité toujours plus restreinte, comme le montre Thomas Piketty dans Capital et idéologie. Historiquement, cette concentration croissante finit par provoquer des crises (guerres, révolutions) qui rétablissent un certain équilibre.
2. La raréfaction des ressources (énergies fossiles, minerais), qui accentue les tensions économiques et réduit les marges de manœuvre pour financer les politiques sociales et environnementales.
3. Le déclin relatif de la performance économique française, comparée à d’autres pays, limitant encore davantage les moyens d’action.
Causes (Hypothèse)
- Un système politique peu agile : conçu il y a 230 ans et révisé il y a 60 ans (Ve République), il n’est plus adapté à la complexité actuelle. Les organes de décision (Parlement, collectivités) sont saturés, devenant des « goulets d’étranglement » qui freinent l’efficacité économique.
- Un manque de représentativité : le système favorise souvent, sans toujours en avoir conscience, les élites plutôt que l’intérêt général. Pourtant, comme le souligne Piketty, la prospérité économique est liée à l’égalité. Exemple frappant : la période faste des États-Unis (1930-1980) coïncide avec un impôt sur l’héritage pouvant atteindre 90 %.
Un cas emblématique : en Allemagne, la loi impose que 50 % des droits de vote dans les entreprises reviennent aux salariés, limitant les décisions financières court-termistes, engendrant une économie plus forte. Pourquoi la France n’adopte-t-elle pas ce modèle ? Par manque d’agilité pour l’adapter, ou parce que le parlement où le patronat est surreprésenté, n’y voit pas l'intérêt ?

(Résumé inspiré du document fondateur de l’association lescrd.org (Lien externe), issu des travaux du CJD France.)
"]

+["Défaillances économique engendrées par les défaillances démocratique engendrant les difficultés démocratique... cercle vicieux.<ol><li>L’accumulation des richesses et du pouvoir par une minorité toujours plus restreinte, comme le montre Thomas Piketty dans Capital et idéologie. Historiquement, cette concentration croissante finit par provoquer des crises (guerres, révolutions) qui rétablissent un certain équilibre.</li><li>La raréfaction des ressources (énergies fossiles, minerais), qui accentue les tensions économiques et réduit les marges de manœuvre pour financer les politiques sociales et environnementales.</li><li>Le déclin relatif de la performance économique française, comparée à d’autres pays, limitant encore davantage les moyens d’action.</li></ol>Causes (Hypothèse)<ul><li>Un système politique peu agile : conçu il y a 230 ans et révisé il y a 60 ans (Ve République), il n’est plus adapté à la complexité actuelle. Les organes de décision (Parlement, collectivités) sont saturés, devenant des « goulets d’étranglement » qui freinent l’efficacité économique.</li><li>Un manque de représentativité : le système favorise souvent, sans toujours en avoir conscience, les élites plutôt que l’intérêt général. Pourtant, comme le souligne Piketty, la prospérité économique est liée à l’égalité. Exemple frappant : la période faste des États-Unis (1930-1980) coïncide avec un impôt sur l’héritage pouvant atteindre 90 %.</li></ul>Un cas emblématique : en Allemagne, la loi impose que 50 % des droits de vote dans les entreprises reviennent aux salariés, limitant les décisions financières court-termistes, engendrant une économie plus forte. Pourquoi la France n’adopte-t-elle pas ce modèle ? Par manque d’agilité pour l’adapter, ou parce que le parlement où le patronat est surreprésenté, n’y voit pas l'intérêt ? (Résumé inspiré du document fondateur de l’association <a href=\"https://www.coalition-democratique.org/link?external_url=http%3A%2F%2Fwww.lescrd.org\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">lescrd.org (Lien externe)</a>, issu des travaux du CJD France.) "]

Suppressions

La raréfaction des ressources (énergies fossiles, minerais), qui accentue les tensions économiques et réduit les marges de manœuvre pour financer les politiques sociales et environnementales.
Le déclin relatif de la performance économique française, comparée à d’autres pays, limitant encore davantage les moyens d’action.

Causes (Hypothèse)

Un système politique peu agile : conçu il y a 230 ans et révisé il y a 60 ans (Ve République), il n’est plus adapté à la complexité actuelle. Les organes de décision (Parlement, collectivités) sont saturés, devenant des « goulets d’étranglement » qui freinent l’efficacité économique.
Un manque de représentativité : le système favorise souvent, sans toujours en avoir conscience, les élites plutôt que l’intérêt général. Pourtant, comme le souligne Piketty, la prospérité économique est liée à l’égalité. Exemple frappant : la période faste des États-Unis (1930-1980) coïncide avec un impôt sur l’héritage pouvant atteindre 90 %.

Un cas emblématique : en Allemagne, la loi impose que 50 % des droits de vote dans les entreprises reviennent aux salariés, limitant les décisions financières court-termistes, engendrant une économie plus forte. Pourquoi la France n’adopte-t-elle pas ce modèle ? Par manque d’agilité pour l’adapter, ou parce que le parlement où le patronat est surreprésenté, n’y voit pas l'intérêt ?

(Résumé inspiré du document fondateur de l’association lescrd.org (Lien externe), issu des travaux du CJD France.)

Ajouts

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Défaillances économique engendrées par les défaillances démocratique engendrant les difficultés démocratique... cercle vicieux.
1. L’accumulation des richesses et du pouvoir par une minorité toujours plus restreinte, comme le montre Thomas Piketty dans Capital et idéologie. Historiquement, cette concentration croissante finit par provoquer des crises (guerres, révolutions) qui rétablissent un certain équilibre.
2. La raréfaction des ressources (énergies fossiles, minerais), qui accentue les tensions économiques et réduit les marges de manœuvre pour financer les politiques sociales et environnementales.
3. Le déclin relatif de la performance économique française, comparée à d’autres pays, limitant encore davantage les moyens d’action.
Causes (Hypothèse)
- Un système politique peu agile : conçu il y a 230 ans et révisé il y a 60 ans (Ve République), il n’est plus adapté à la complexité actuelle. Les organes de décision (Parlement, collectivités) sont saturés, devenant des « goulets d’étranglement » qui freinent l’efficacité économique.
- Un manque de représentativité : le système favorise souvent, sans toujours en avoir conscience, les élites plutôt que l’intérêt général. Pourtant, comme le souligne Piketty, la prospérité économique est liée à l’égalité. Exemple frappant : la période faste des États-Unis (1930-1980) coïncide avec un impôt sur l’héritage pouvant atteindre 90 %.
Un cas emblématique : en Allemagne, la loi impose que 50 % des droits de vote dans les entreprises reviennent aux salariés, limitant les décisions financières court-termistes, engendrant une économie plus forte. Pourquoi la France n’adopte-t-elle pas ce modèle ? Par manque d’agilité pour l’adapter, ou parce que le parlement où le patronat est surreprésenté, n’y voit pas l'intérêt ?

(Résumé inspiré du document fondateur de l’association lescrd.org (Lien externe), issu des travaux du CJD France.)
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Suppressions

Ajouts

+["Défaillances économique engendrées par les défaillances démocratique engendrant les difficultés démocratique... cercle vicieux.<ol><li>L’accumulation des richesses et du pouvoir par une minorité toujours plus restreinte, comme le montre Thomas Piketty dans Capital et idéologie. Historiquement, cette concentration croissante finit par provoquer des crises (guerres, révolutions) qui rétablissent un certain équilibre.</li><li>La raréfaction des ressources (énergies fossiles, minerais), qui accentue les tensions économiques et réduit les marges de manœuvre pour financer les politiques sociales et environnementales.</li><li>Le déclin relatif de la performance économique française, comparée à d’autres pays, limitant encore davantage les moyens d’action.</li></ol>Causes (Hypothèse)<ul><li>Un système politique peu agile : conçu il y a 230 ans et révisé il y a 60 ans (Ve République), il n’est plus adapté à la complexité actuelle. Les organes de décision (Parlement, collectivités) sont saturés, devenant des « goulets d’étranglement » qui freinent l’efficacité économique.</li><li>Un manque de représentativité : le système favorise souvent, sans toujours en avoir conscience, les élites plutôt que l’intérêt général. Pourtant, comme le souligne Piketty, la prospérité économique est liée à l’égalité. Exemple frappant : la période faste des États-Unis (1930-1980) coïncide avec un impôt sur l’héritage pouvant atteindre 90 %.</li></ul>Un cas emblématique : en Allemagne, la loi impose que 50 % des droits de vote dans les entreprises reviennent aux salariés, limitant les décisions financières court-termistes, engendrant une économie plus forte. Pourquoi la France n’adopte-t-elle pas ce modèle ? Par manque d’agilité pour l’adapter, ou parce que le parlement où le patronat est surreprésenté, n’y voit pas l'intérêt ? (Résumé inspiré du document fondateur de l’association <a href=\"https://www.coalition-democratique.org/link?external_url=http%3A%2F%2Fwww.lescrd.org\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">lescrd.org (Lien externe)</a>, issu des travaux du CJD France.) "]

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Version créée le 07/09/2025 13:09